ingénieur industriel

•          Loi du 19 juillet 1976 modifiée, relative aux installations classées. •           Arrêté du 9 novembre 1972 modifié par l’arrêté du 19 novembre 1975 relatifs aux dépôts d’hydrocarbures liquéfiés. •           Arrêté du 3 mars 1976 relatif aux stockages non visés par les textes précédents. •           Arrêté du 22 juin 1998 relatif aux réservoirs enterrés. •           Arrêté du 21 avril 1989 relatif à la sécurité des pipelines. •           Arrêté du 9 novembre 1989 relatif aux conditions d’éloignement. •           Arrêté du 10 mai 1993 relatif aux GIL sous pression. •           Circulaire du 9 novembre 1989 relative au dépôt de gaz combustibles liquéfiés. •           Circulaire du 9 novembre 1989 relative aux ICPE. •           Circulaire du 6 juillet 1990 relative aux moyens de lutte contre l’incendie. •           Circulaire du 6 mai 1999 relative à l’extinction des feux de liquides inflammables. •           Instruction ministérielle du 9 novembre 1

  Réservoirs à toit fixe       La zone entre le toit et la surface du liquide forme un volume où peut s’accumuler de l’air carburé. Cette situation entraîne des pertes par évaporation, très sensibles aux produits dont la tension de vapeurs est élevée. Réservoirs à toit fixe et écran flottant      Réservés aux produits dont le PE < 55°C, un écran flottant repose sur la surface du liquide et a pour objectif de supprimer la phase gazeuse. Par conséquent, les pertes en évaporation sont réduites Réservoirs à toit flottant Identique au précédent, sans le toit fixe, les réservoirs de ce type sont à double ponton ou ponton annulaire. Ce dernier a pour inconvénient  d’être déformable mais présence l’avantage de réduire les pertes par évaporation et anile les risques de surpression ou dépression. Réservoirs à toit sphérique Réservoirs étudier pour supporter des pressions importantes. Il est donc possible dans ces capacités, de stocker des hydrocarbur

      La vocation de base d’un dépôt, est le stockage et la distribution de produits liquides, liquéfiés et visqueux, produits essentiels aux consommateurs. La récession économique de ces dernières années, a poussée les industriels à se regrouper pour former de gigantesque dépôts communs. Les stockages sont variés, à savoir: •           Hydrocarbures à température ambiante (essence, gasoil…). •           Hydrocarbures réchauffés (fuel n°2, huiles, bitumes…). •           Hydrocarbures liquéfiés (butane, propane…). •           Produits divers (alcools, pétrole, naphta, engrais liquides…). Installations       Les hydrocarbures sont classés en fonction de leur point éclair. Selon leur catégorie d’appartenance, ils seront entreposés dans différents types de réservoirs. Ainsi: •      Les hydrocarbures liquéfiés seront stockés dans des bacs spéciaux ou dans des sphères. •   Les hydrocarbures liquides de point éclair inférieur à 55°C , dans des réservoirs à toit f

LES PRINCIPES GÉNÉRAUX : Nature du feu ?  Quels sont les équipement concernés ?  Sa surface, son volume, son importance ?  Les fumées sont elles toxiques ?  Il y a t'il des blessés ? le secteur a t'il été évacué ?  Il y a t-il un risque d'extension vers l'extérieur du site ?  ANALYSE DE LA SITUATION : En fonction des informations doit-on déclencher le POI ?  (le chapitre du Plan d'Opération Interne sera détaillé ci-après) Déterminer au départ, les emplacements stratégiques .Les accès sont- ils libres ( rues - quais, allées ) .Quelle est la direction des vents ? afin de ne pas se présenter face aux fumées.Déterminer les points d'eau pour les véhicules incendie  Le produit en feu est il un liquide "polaire"ou additivé (voir chapitre émulseur)  Quels moyens employer ( en matériels et en hommes)  ANALYSE SUR SITE : Déterminer les emplacements stratégiques pour les secours .Ne faire intervenir que le personnel suffisant  Me

كان تطور الحركة الحرارية وفهم الغازات وسلوكها الباعث على تقدم   الكيمياء   والفيزياء   منذاكتشاف   روبيرت بويل   وصياغته لسلوكها في   قانون بويل   في عام 1662. ثم حدث تقدم سريع حتى القرن التاسع عشر ، واستطاع العلماء وصف الغاز كالأتي  : 1-  تتألف الغازات من أعداد كبيرة من الجسيمات المتناهية في الصغر والبعيدة عن بعضها مقارنة بحجمها. وينتج عن ذلك ان معظم الحجم الذي يحتله الغاز هو عبارة عن فراغ , وهذا يعلل   الكثافة   المنخفضة للغازات . 2- تتصادم جسيمات الغاز بعضها البعض بسبب حركتها السريعة العشوائية ، وبارتفاع درجة الحرارة تزداد سرعات الجزيئات ،وتشتد الاصطدامات ويزداد معدل الاصطدامات. في نفس الوقت تصطدم جسيمات الغاز بجدار الوعاء الذي يحتويها وتظهر لنا في صورة   الضغط . التصادم مرن أي لا يحصل فقدان في الطاقة الكلية للغاز. كل مافي الأمر تنتقل السرعات بين الجسيمات مثلما تنتقل سرعات كرات   البلياردو . 3- تكون جسيمات الغاز في طاقة حركة دائمة سريعة وعشوائية وفي جميع الاتجاهات . 4-  لا توجد قوى تجاذب أو تنافر بين جزيئات الغاز (افتراض   الغاز المثالي )

Les recommandations sont liées à la prévention de l’occurrence de risques relatifs aux différents scénarios et ainsi la préparation de la gestion de crise : Inspection et vérification périodique de l‘intégrité de l’installation Il est également important d’assurer une installation et un système efficace de maintenance et d’inspection de détecteurs de gaz. Vérifier également la disponibilité et l’efficacité des mesures de niveau sur les bacs afin de limiter les risques de sur remplissage. Revoir également les capacités et les besoins des rétentions et des stocks de mousse. Pour répondre au dernier point, il serait souhaitable d’étudier toute la planification des moyens humain et matériel ainsi que la méthode de lutte contre ces risques en cas de survenance. Et pour les actions qui se trouvent sur le site d’intervention en peut citée : Ø   L’activation de l’alarme   -  Contact avec la SDC   - Positionné a l’extérieur de périmètre de risque   -  arrêt l’alimentatio

Selon le décret exécutif n 0 06-198 du 31mai 2006 [14] définissant la réglementation applicable aux établissements classés pour la protection de l’environnement, les établissements sont classés, selon la gravité de leur danger, en quatre catégories : ·       Etablissement classé de première catégorie (AM): Comportant au moins une installation soumise à autorisation ministérielle. ·       Etablissement classé de deuxième catégorie (AW): Comportant au moins une installation soumise à autorisation du wali. ·       Etablissement classé de troisième catégorie (APAPC): Comportant  au moins  une  installation  soumise  à  autorisation  du  président  de  l’assemblée populaire communale (APC). ·       Etablissement classé de quatrième catégorie D : Comportant au moins une installation soumise au régime de la déclaration auprès du président de l’assemblée populaire communale (APC).